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Maria Sharapova
3
6
6
0
0
Marion Bartoli
6
3
4
0
0
Sharapova
-
Bartoli
Score
22h41
Ce sont maintenant Roddick et Del Potro qui vont faire leur entrée sur le court.
22h39
Déception en revanche pour Bartoli qui n'était vraiment pas loin sur ce match et qui a réellement montré de belles choses. Encourageant pour la fin de la saison.
22h38
Jeu, set et match Sharapova ! Sur un dernier service gagnant, la Russe conclut le match et se hisse en demi-finales où elle retrouvera Victoria Azarenka.
22h37
Set 3
22h37
6
-
4
3-6 6-3 6-4
+
22h36
40-30, service gagnant de Sharapova et première balle de match
22h36
30-30, Bartoli tente encore de frapper très fort mais ça manque de précision cette fois et sa balle échoue dans le filet
22h35
15-30, Bartoli donne tout ce qu'elle a en coup droit et Sharapova ne parvient pas à contrôler la balle qui s'échappe des limites
22h34
15-15, double faute de la Russe
22h33
15-0, service gagnant de Sharapova
22h32
Break de Sharapova ! La Russe ne lâche plus rien et, sur sa troisième occasion, elle finit par faire craquer Bartoli sur service. Elle servira donc pour le match dans quelques instants.
22h31
5
-
4
3-6 6-3 5-4
+
22h21
4
-
4
3-6 6-3 4-4
+
22h18
3
-
4
3-6 6-3 3-4
+
22h10
3
-
3
3-6 6-3 3-3
+
22h03
2
-
3
3-6 6-3 2-3
+
22h02
Le match semble pouvoir basculer d'un côté comme de l'autre à tout moment.
22h01
Bartoli ne se laisse pas distancer et débreak dans la foulée du break réussi par Sharapova. Très belle réaction de la Française alors qu'on croyait la Russe en passe de prendre réellement le contrôle des débats dans ce troisième acte.
21h59
2
-
2
3-6 6-3 2-2
+
21h54
2
-
1
3-6 6-3 2-1
+
21h50
Ce n'est toutefois plus le même match, Sharapova se montre désormais beaucoup moins imprécise et beaucoup plus tranchante. On sent qu'un rien pourrait faire complètement basculer la rencontre.
21h50
1
-
1
3-6 6-3 1-1
+
21h48
Bartoli réagit bien et remporte sa mise en jeu pour entamer ce troisième et dernier set.
21h48
Un break réalisé avec autorité par Sharapova, un service bien tenu derrière et voilà la Russe qui revient à une manche partout sur un énorme''Come oooooonn''.
21h46
0
-
1
3-6 6-3 0-1
+
21h39
Set 2
21h39
6
-
3
3-6 6-3
+
21h37
5
-
3
3-6 5-3
+
21h28
4
-
3
3-6 4-3
+
21h25
3
-
3
3-6 3-3
+
21h17
3
-
2
3-6 3-2
+
21h13
2
-
2
3-6 2-2
+
21h09
Menée 0-40, Sharapova sauve en tout 4 balles de break et finit par tenir sa mise en jeu. Pas vraiment de regrets à avoir pour Bartoli, la Russe a bien joué le coup.
21h07
2
-
1
3-6 2-1
+
21h02
Débreak blanc de Sharapova dans la foulée. La Russe là aussi bien aidée par les doubles fautes de la Française.
21h01
1
-
1
3-6 1-1
+
20h59
Le break d'entrée dans ce deuxième set pour Bartoli, bien aidée par Sharapova qui a commis trois doubles fautes.
20h58
0
-
1
3-6 0-1
+
20h53
Voilà qui est fait, sur un service gagnant Bartoli remporte le premier acte et montre au passage qu'elle est revenue sur le court dans les même dispositions qu'hier. A elle de bien enchaîner maintenant.
20h51
Set 1
20h51
3
-
6
3-6
+
20h49
C'est donc maintenant Bartoli qui va servir pour tenter de conclure cette première manche.
20h48
Sharapova sauve de belle manière une balle de set et tient finalement sa mise en jeu.
20h47
3
-
5
3-5
+
20h42
Sharapova va servir pour rester dans ce premier set.
20h42
Après avoir encaissé les deux premiers jeux, Bartoli tient son service et se remet dans le sens de la marche.
20h41
2
-
5
2-5
+
20h37
2
-
4
2-4
+
20h31
C'est reparti et Bartoli qui était mené 15-30 sur son engagement au moment de l'interruption hier débute en cédant un de ses deux breaks d'avance.
20h30
1
-
4
1-4
+
20h25
Bartoli et Sharapova sont de retour sur le court et s'échauffent à nouveau. Le match devrait pouvoir reprendre cette fois-ci dans la mesure le ciel semble tout de même beaucoup moins menaçant que toute à l'heure.
20h16
Voilà que l'Arthur Ashe Stadium commence à ressembler davantage à un court de tennis qu'à une piscine. C'est plutôt bon signe d'autant que quelques rayons de soleil viennent baigner Flushing Meadows actuellement.
19h57
On entreprend à nouveau de sécher les courts. Les petites voiturettes sécheuses viennent de faire leur apparition, en espérant que les nuages ne repercent pas cette fois.
19h53
Il pleut toujours sur l'Arthur Ashe Stadium et aucune reprise n'est donc envisageable dans les minutes qui viennent.
19h28
Fausse alerte, la pluie vient de se remettre à tomber sur Flushing Meadows et les deux joueuses ont donc regagné les vestiaires. Cette 10ème journée ne débute pas sous les meilleurs auspices.
19h21
Bartoli et Sharapova ont fait leur entrée sur le court et sont actuellement à l'échauffement.
18h52
La pluie a cessé et l'équipe d'entretien est à l'oeuvre pour sécher le court.
18h42
Pas d'information sur l'heure de reprise estimée
18h41
Voilà l'explication, la pluie s'est remise à tomber sur l'Arthur Ashe Stadium et, en connaissance de cause, les organisateurs ne voulaient pas faire entrer les joueuses pour les faire regagner le vestiaire dans la foulée.
18h36
Le court est encore humide ce qui suscite quelques questions chez les organisateurs et qui explique donc ce retard à l'allumage.
18h33
Les deux joueuses n'ont pas encore fait leur entrée sur le court mais il ne pleut pas sur Flushing Meadows actuellement et le match devrait donc pouvoir reprendre sans trop tarder.
18h32
Bonjour à toutes et tous
2h25
Les prévisions pour la suite de l'après-midi sont mauvaises et les organisateurs ont donc officiellement annoncé le report de la fin de ce Bartoli vs Sharapova à demain. Les autres matchs et notamment ceux de night session sont maintenus.
1h16
Il pleut, encore et toujours, le court est détrempé et la reprise du jeu n'est donc pas envisageable avant au moins trois quarts d'heure, le temps de préparer le court, en admettant que la pluie cesse.
0h23
La pluie est de retour, le match est interrompu.
0h19
Double break pour Bartoli ! Après avoir vu Sharapova revenir de 0-40 à A-40, la Française finit par convertir sa quatrième opportunité. Rien ne semble pouvoir l'arrêter jusque-là.
0h17
0
-
4
0-4
+
0h08
Break confirmé pour Bartoli qui ne pouvait pas rêver meilleur départ. La Française ne manque pas grand chose et de l'autre côté du filet c'est pour l'instant Sharapova qui n'arrive pas à trouver les solutions.
0h07
0
-
3
0-3
+
0h06
Entrée en matière parfaite de Bartoli dans ce match. Contrairement à son match face à Kvitova la Française est tout de suite bien dans son tennis et c'est elle qui fait la première différence de la partie.
0h04
0
-
2
0-2
+
0h00
0
-
1
0-1
+
Jeu de service
Break
Inconnu
Latest flashs flash
À Rome, Sabalenka met tout le monde d’accord La saison 2024 d’Aryna Sabalenka suit une trajectoire assez originale. Finaliste à Brisbane (battue par Rybakina) et surtout sacrée à l’Open d’Australie, la Biélorusse a connu un début de saison quasi-parfait. Oui, mais voilà, les choses se sont gâtées par la suite. Perdant une part de sa motivation puis subissant le décès de son ex-compagnon en mars, Sabalenka a eu du mal à rester concentrée sur son tennis. C’est simple, avant Madrid, la numéro 2 mondiale ne comptait que 4 victoires en 7 matchs.  Heureusement, elle a retrouvé le chemin de la victoire. Arrivant à Madrid en manque de confiance, Sabalenka a enchaîné les victoires, souvent difficiles. Revigorée par cette spirale positive, elle fait de nouveau figure d’épouvantail. Enchaînant des victoires sur Collins, Andreeva et surtout Rybakina, la joueuse de 26 ans a finalement calé en finale du tournoi espagnol face à la meilleure joueuse du monde, Iga Swiatek (7-5, 4-6, 7-6). Engagée dans un tournoi romain qu’elle n’a pourtant jamais gagné, la Biélorusse impressionne toujours autant. Portée par un public italien qui la soutient avec une grande ferveur, elle semble imperturbable. Remerciant son public après chaque match ou presque, elle se présentera en finale ce samedi. Alternant entre des victoires tranquilles et des matchs beaucoup plus difficiles, Sabalenka a toujours répondu présente. En effet, elle a sauvé des balles de match face à Svitolina avant de parfaitement maîtriser Ostapenko et Collins.  Plus que jamais numéro 2 mondiale, elle a gagné le droit de disputer une revanche face à son bourreau de Madrid, Iga Swiatek.  Dans une finale qui tend à devenir un classique, les deux meilleures joueuses de la planète vont donc se retrouver, deux semaines après s’être affrontées en Espagne, pour un 11e affrontement en carrière. Une chose est sûre : Sabalenka est en train de s’affirmer comme la seule joueuse capable de régulièrement challenger la domination de la Polonaise.
Rétrospective #2 : Le jour où Nadal et Federer se sont livrés à l’une des finales les plus mémorables de l’histoire (Rome 2006) “Vraiment. Rafa est une personne géniale, avec de belles valeurs. Aujourd’hui, il m’a confié avoir pleuré quand j’ai gagné mon Roland-Garros en 2009 tellement il était heureux pour moi.” Cet extrait d’une des multiples interviews accordées par Roger Federer montre très bien la relation toute particulière qu'entretiennent ces deux légendes de notre sport. Cette même rivalité bienveillante qui avait réussi l’exploit d’attirer près de 52000 personnes, le chiffre record pour un match de tennis, à Cap Town en 2020. Questionné sur l’évolution de leur rapport à travers le temps, lors de la Laver Cup 2017, Roger se souvient : “Au début, Rafa était timide, toujours très respectueux envers les autres joueurs du top 10, et moi en particulier parce que j’étais numéro 1 mondial. Puis sa personnalité s’est affirmée. Nous avons eu de rudes et douloureuses batailles sur le court, quelques brouilles, aussi, mais il y a toujours eu un énorme respect entre nous.” Oui, Federer et Nadal ont connu plusieurs rudes batailles menant en effet à quelques brouilles. Et, l’une des plus mémorables remonte au 14 mai 2006 lorsque les deux légendes se sont affrontées en finale du Masters 1000 de Rome. - Un peu de contexte En 2006, ce sont les deux meilleurs joueurs de la planète. D’un côté, Roger Federer est incontestablement le tennisman le plus costaud. Numéro 1 mondial depuis février 2004, il est très solidement ancré sur le trône et ne le quittera plus jusqu’au mois d'août de l’année 2008. En face du Bâlois, c’est Rafael Nadal qui se présente. En 2006, c’est lui le challenger le plus crédible face à l’hégémonie du Suisse. Dauphin de Federer depuis juillet 2005, il le restera jusqu’en août 2008, moment où il finira par passer devant le Maestro au classement. Avant de parler un peu plus en détail de ce duel monstrueux, il convient de revenir sur les saisons de ces deux titans. À seulement 19 ans, ‘Rafa’ réalise un exercice 2006 de très haut niveau : il remporte 58 matchs sur 70, s’adjuge 5 titres (Dubaï, Monte-Carlo, Barcelone, Rome, Roland-Garros) et perd une finale (à Wimbledon, battu par Federer). Federer, de son côté, réalise une saison presque inhumaine. En 17 tournois joués en 2006, Roger ne chute avant la finale qu’une seule fois (battu par Murray à Cincinnati). Le Suisse, au sommet de son art, remporte 90 matchs sur 95 et s’adjuge 12 titres dont trois en Grand Chelem (Doha, Open d’Australie, Indian Wells, Miami, Halle, Wimbledon, Montréal, US Open, Tokyo, Madrid, Bâle, ATP Finals). Le seul à lui résister c’est ‘Rafa’. L'Espagnol privera le Bâlois de quatre titres dont bien sûr Roland-Garros ce qui empêchera le Maestro de réaliser le Grand Chelem calendaire. Heureusement, Federer maîtrisera bien mieux son adversaire sur la suite de la saison, remportant leurs deux derniers matchs. Ce n’est pas un secret, les duels entre Federer et Nadal ont marqué plusieurs générations de passionnés. Dans l’histoire du tennis, les « Fedal », c’est 40 matchs (24 victoires à 16 pour Rafa). 2006 restera l’année de leur rivalité puisqu’ils se sont rencontrés à 6 reprises. Beaucoup de leurs duels mériteraient un article. Seulement, ce qui nous intéresse ici, c’est le Masters 1000 de Rome. Et, en 2006, ces deux-là s’étaient livrés, dans la ville éternelle, à l’une des finales les plus mémorables de l’histoire du tennis. - Un match pour écrire l’histoire À cette époque, Federer est frustré. Restant sur 3 défaites consécutives face à l’Espagnol, il veut prendre sa revanche. Battu à Monaco, trois semaines plus tôt, le Suisse estime se rapprocher de la bonne stratégie : “J’ai joué plus intelligemment qu’à Roland-Garros (demi-finale 2005) aujourd’hui (à Monaco). Je me rapproche, j’ai fait un pas de plus vers la solution pour le battre sur terre.”. De l'autre côté du terrain, Rafa, 19 ans, est déjà un roi. Depuis sa défaite face à Igor Andreev à Valence en 2004, il en est à 52 succès consécutifs sur ocre. C’est ainsi qu'il se trouve déjà à une unité du record de mammouth de Guillermo Vilas (53 victoires de rang sur terre battue). Pour égaler l’Argentin, il doit s’imposer face à Federer au sein du Foro Italico. Là où, un an plus tôt, il avait battu, au terme d’un des plus grands matchs de l’histoire sur terre battue, Guillermo Coria. - Federer, un numéro 1 mondial revanchard Dès le premier point joué, Federer passe des paroles aux actes. Il a un plan. Il joue en plein dans le revers du majorquin, dans des zones assez centrales pour éviter de trop gros décalages et bondit au filet dès que possible. Remportant 15 points sur 18 au filet, il finit par s’adjuger le premier acte au terme d’un tie-break à sens unique (7-0). Perfectionnant son jeu depuis des mois pour pouvoir contrer Nadal sur ocre, le Suisse bluffe son monde. Utilisant l’amorti bien plus qu’à l’accoutumé, il fait m
Interrogé sur Roland-Garros, Roddick s’attend à un tournoi plus ouvert que jamais : “Tout d’un coup, nous parlons de 12 ou 15 joueurs pouvant gagner le tournoi” On le sait, cette édition de Roland-Garros s’annonce plus indécise que jamais. Du moins, chez les hommes. Pour rappel, Carlos Alcaraz et Jannik Sinner sont toujours en délicatesse avec leur physique, Novak Djokovic est encore très loin de sa forme et Rafael Nadal peine à retrouver un niveau vraiment satisfaisant. Ce contexte, rarissime dans le tennis masculin, risque de nous offrir un tournoi plus ouvert que jamais et certains outsiders pourraient finalement endosser un costume de favori. C’est en tout cas ce que pense Andy Roddick, ex numéro 1 mondial et vainqueur de l’US Open 2003. Dans des propos relayés par Tennis Channel, le champion américain, titré à l’US Open 2003 explique qu’un grand nombre de joueurs pourraient s’imposer cette année : “Chaque joueur du top 4 mondial, ou presque, a un problème physique à l’approche du tournoi. Je ne pense pas qu’il y ait eu beaucoup de tournois du Grand Chelem au cours des 25 dernières années, en tout cas chez les hommes, pour lesquels nous puissions dire : ‘Oui, le tournoi est ouvert’. [...] Notre favori est un gars qui souffre d’une blessure à l’avant‐bras et qui n’a pas joué deux des trois derniers Masters 1000 (Carlos Alcaraz). D’ailleurs, Medvedev, Rublev et Ruud aimeraient aussi avoir leur mot à dire, tout comme Taylor Fritz et encore d’autres. Tout d’un coup, nous parlons de 12 ou 15 joueurs pouvant gagner le tournoi. Je crois que l’occasion se présente pour de nombreux joueurs que l’on ne considère pas forcément comme des favoris.”
Héroïque, Jarry renverse Tsitsipas à Rome C’est un vrai festival chilien qui frappe l’Italie. Après la qualification d’Alejandro Tabilo ce mercredi, c’est cette fois Nicolas Jarry qui a obtenu son billet pour les demi-finales. Opposé à un Stefanos Tsitsipas pourtant très en confiance, le numéro 24 mondial a fait preuve d’une grande résilience pour réussir à s’imposer (3-6, 7-5, 6-4 en 2h39). Dans un duel de haut niveau où les deux hommes ont joué un tennis très agressif, c’est finalement Jarry qui a été le plus costaud. Bluffant de réalisme, le Chilien a ainsi écarté 11 balles de break sur l’ensemble de la partie. Longtemps dominé, il a su faire le dos rond pour finalement profiter d’un petit coup de moins bien du Grec pour le coiffer au poteau. Rapidement mené d’un break puis d’un set (3-6), le joueur de 26 ans n’a rien lâché. Dominé une bonne partie du deuxième acte, il a finalement tenu sa mise en jeu, non sans écarter plusieurs balles de break, avant de surprendre Tsitsipas au meilleur des moments pour recoller (7-5). Bis repetita au dernier set. Malgré une superbe entame de son entame adversaire, Jarry va débreaker avant de réaliser un ultime break, synonyme de victoire (3-6, 7-5, 6-4). Qualifié sur une dernière défense de fond de court assez bluffante, il va donc vivre sa première demi-finale de Masters 1000 en carrière. De son côté, Tsitsipas manque une énorme occasion. Au vu de l’hécatombe romaine, le numéro 8 mondial avait une belle occasion de sacre. Surpris par un adversaire très relâché, il va devoir encore attendre s’il veut ajouter son nom au palmarès du tournoi. Bien que très en forme, il lui faudra encore mieux faire pour s’imposer à Roland-Garros, dans un peu plus d’une semaine. Nicolas Jarry, quant à lui, va devoir vite se remettre de ses émotions puisqu’il sera de retour sur le court dès demain pour y défier Tommy Paul, tombeur d’Hubert Hurkacz un peu plus tôt dans la journée (7-5, 3-6, 6-3).
A Rome, Swiatek continue de marquer l’histoire Iga Swiatek n’a pas notre temps. A 22 ans, elle est la patronne incontestée et incontestable du circuit WTA. Brillante, elle joue un tennis de très grande qualité, particulièrement sur terre battue. Après quatre matchs tranquilles, la numéro 1 mondiale a fait face à un premier gros test ce jeudi. Opposée à Coco Gauff (3e), elle y a répondu très favorablement. Bien que l’Américaine ait démarré le match pied au plancher en breakant d’entrée, Swiatek a utilisé toute sa science du jeu pour museler une adversaire encore un peu trop naïve (6-4, 6-3 en 1h47). Qualifiée, la Polonaise va donc vivre sa 25e finale en carrière, la 12e en WTA 1000. Il n’est pas certain que le grand public s’en rende bien compte mais ce que fait Swiatek a 22 ans est absolument historique. En 30 participations à des tournois de la catégorie, elle a donc atteint douze fois la finale (40% du temps). C’est simple, c’est le meilleur ratio depuis l’instauration du format en 2009, même Serena Williams ne fait pas mieux (37%, soit 18 finales en 49 participations). Bien consciente d’écrire l’histoire de son sport, la numéro 1 mondiale explique vouloir prendre de la distance avec les chiffres : “Honnêtement, je n'y pense pas vraiment, car c'est déjà beaucoup. Je vis ma vie au jour le jour. Je ne pense pas aux statistiques ou à l'histoire. Je pense que c'est plus facile ainsi. Cela vous permet de jouer de manière plus détendue et plus libre. Je vais juste essayer de jouer le meilleur tennis possible en finale. Si j'y vais doucement et pas à pas, je pense que ce sera mieux que si je pense déjà à la victoire. Le chemin est encore long. Il y a encore beaucoup de travail à faire.” Irrésistible, Swiatek visera donc un 21e titre en carrière ce samedi, performance qui la mettrait dans des dispositions parfaites en vue de Roland-Garros. En finale, elle pourrait bien retrouver, comme à Madrid, Sabalenka, à moins que Collins ne vienne gâcher la fête.
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