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Avant d’affronter Nadal, Zizou Bergs essaye de relativiser : “Trouver la conviction que je peux le battre” C’est à un véritable choc de perspectives auquel nous allons assister ce jeudi. Zizou Bergs, 108e mondial, va affronter le roi de la terre battue, Rafael Nadal. C’est un sacré défi qui attend le Belge puisque c’est la première fois de sa carrière qu’il va jouer un match de tableau final de Masters 1000 sans bénéficier d’une wild-card. En effet, après s’être extirpé des qualifications, il va défier, ce jeudi, un joueur qui s’est imposé à 36 reprises dans la catégorie (dont 10 fois à Rome) : Rafael Nadal. Alors qu’il s’apprête à défier une montagne, le joueur de 24 ans s’est affiché heureux et essaye de rester ambitieux : “Pouvoir affronter Nadal est incroyable ! D'autant plus qu'il ne jouera plus très longtemps. Je rêvais de pouvoir me mesurer un jour à un membre du “Big Three”. Ce sera donc Nadal et je n'ai pas de mots. C'est tellement beau. Désormais, évidemment, il faudra faire en sorte de trouver la conviction que je peux le battre. Voir la réalité et me dire en fait que je vais affronter quelqu'un qui est 305e mondial. Ce ne sera pas facile, mais si je parviens à me mettre cela en tête, je pourrai peut-être rivaliser.” (propos relayés par RTBF).
Murray va faire son retour à la compétition à Genève ! Andy Murray va reprendre la compétition. Alors que des images de l’Ecossais s’entraînant sur ocre avaient fuitées depuis plusieurs jours, l’information est désormais officielle : l’ancien numéro 1 mondial va faire son retour dès la saison sur terre battue. Pour rappel, l’Ecossais s’était blessé à la cheville à la suite de son match du troisième tour de Miami contre Tomas Machac (perdu 5-7, 7-5, 7-6). Ce coup dur semble être derrière lui puisque le tournoi de Genève vient d’annoncer sur ses réseaux sociaux qu’une wild-card avait été offerte au champion britannique. Celui qui vit, à 37 ans, sa très probable dernière saison sur le circuit ATP ne semble pas vouloir faire l’impasse sur la terre battue cette année. Ce choix s’explique probablement par l’approche des Jeux Olympiques de Paris, qui se joueront sur ocre justement. Le triple vainqueur en Grand Chelem n’a jamais caché son attachement à l’épreuve olympique et espère encore pouvoir y accrocher. A ce sujet, Inews nous apprenait justement qu’Andy, conscient de ses failles, envisageait une participation en simple mais surtout en double (aux côtés de Dan Evans) afin de maximiser ses chances. Le numéro 77 mondial a donc choisi de faire escale en Suisse afin de retrouver un maximum d’automatismes sur la surface et de pouvoir bien figurer à Roland-Garros (où on l’annonce participant en simple et en double) mais surtout aux Jeux Olympiques.
Invités par les organisateurs, Fognini se confie : “Rome est spécial pour moi” Fabio Fognini n’est pas n’importe quel joueur. L’Italien, qui va fêter son 37e anniversaire, a tout connu dans sa carrière. Joueur de tennis professionnel depuis 20 ans, Fognini a connu l'hégémonie du “big 4” ainsi que l’émergence de la “next gen”. Celui qui a pendant longtemps porté à bout de bras un tennis italien quelque peu moribond, a déjà commencé à passer le flambeau. S’il arrive au crépuscule de sa carrière, le transalpin reste l’un des joueurs les plus iconiques du tennis italien. Alors qu’il vit l’un de ses derniers tournois romains, le droitier, invité par les organisateurs, arrive avec un peu plus de confiance. Après une saison 2023 très difficile, il a réintégré le top 100 mondial (92e) et espère faire vibrer son public une fois encore. Ce qui est sûr c’est que le vainqueur de Monte-Carlo 2019 risque de mettre une sacrée ambiance. Ce n’est pas un secret, mais Fognini adore jouer à domicile et pourrait bien mettre à l’épreuve les nerfs de quelques joueurs. Ainsi, au moment où il va lancer son tournoi face à Daniel Evans ce mercredi, match qui aura l’honneur de la night session (pas avant 19h), il veut profiter de son passage dans la ville éternelle : “C'est la vérité. Rome est spécial pour moi, à tous points de vue. Je suis là, je vais essayer d'en profiter pleinement. [...] Ça m'excite (jouer à domicile). Un stade plein, ça n’a pas de prix. [...] Je connais mon adversaire (Dan Evans) et il me connaît, il sait que je suis un joueur dangereux sur cette surface.” Revenant sur ses sensations, Fognini espère bien figurer en Grand Chelem malgré les pépins physiques rencontrés ces dernières semaines : “Malheureusement je n'ai pas pu jouer la saison sur terre battue en continu mais d'ici à Roland Garros, je veux juste penser positivement. [...] Être bien physiquement est la chose la plus importante. Et puis, en matière de classement, je souhaite être présent dans les tournois du Grand Chelem pour jouer en continu.” (propos relayés par Ubitennis).
Musetti se confie sur la difficulté de jouer à une main (en revers) : “En termes de solidité, le revers à deux mains est inégalable” Lorenzo Musetti ne vit pas la plus belle période de sa carrière. Après un bon tournoi de Monte-Carlo, le numéro 29 mondial a enchaîné deux défaites (à Barcelone et à Madrid). En conséquence, il a pris la direction du Challenger 175 de Cagliari où il a atteint la finale. Battu par un toujours aussi étonnant Mariano Navone (7-5, 6-1), l’Italien a quand même profité de cette escale à domicile pour remporter quelques matchs (3) et quelques points ATP (+50). Avant de prendre la direction de Rome, le joueur de 22 ans a été invité à se prononcer sur le débat des revers. En effet, alors que le nombre de revers à une main diminue à vue d'œil, l’accent est souvent mis sur Stefanos Tsitsipas et Grigor Dimitrov, derniers défenseurs de ce type de revers au sein du top 10 mondial. Musetti a défendu une opinion assez surprenante pour un joueur qui joue, lui aussi, à une main en revers : “D'un point de vue esthétique et stylistique, le revers à une main est sans aucun doute l'un des plus beaux coups qui soient. Il n'y a pas (dans le tennis actuel) de revers à une main qui puisse tenir tête à un revers à deux mains à moitié moins bon. [...] C'est normal qu'on en voit de moins en moins. [...] Si vous jouez à une main, vous avez la possibilité de varier davantage, mais en termes de solidité, le revers à deux mains est inégalable. Il est évident que les enfants apprennent davantage le revers à deux mains. Si je devais enseigner mon revers à une main à l'avenir, même si j'aime mon revers à une main, j'enseignerais probablement le revers à deux mains.” (propos relayés par Punto de Break).
Cerundolo annonce la couleur : “Je peux faire un grand tournoi à Paris” Francisco Cerundolo va mieux. Depuis sa finale à Rio (perdue face à Baez 7-5, 6-0), l’Argentin avait du mal à enchaîner (5 victoires en 10 matchs avant Madrid). Le 22e mondial, très à l’aise sur terre battue, s’est retrouvé au meilleur des moments. Auteur d’un tournoi espagnol très convaincant (quart de finaliste en éliminant Zverev en huitième), le joueur de 25 ans retrouve de l’ambition à moins d’un mois de Roland-Garros : “Je suis arrivé sans grandes attentes, mais petit à petit, j'ai pris confiance en moi. [...] Roland Garros est le Grand Chelem dans lequel j'ai le plus confiance, c'est celui dans lequel je me suis le mieux débrouillé jusqu'à présent. Je pense que je peux faire un grand tournoi à Paris.” Dans des propos relayés par Punto de Break, celui qui sera tête de série Porte d’Auteuil a tenu à relativiser l’importance des résultats dans une vie de joueur de tennis : “Les gens pensent que les joueurs de tennis sont des robots, que nous allons sur le court juste pour jouer, mais en dehors, nous avons une vie avec notre famille, nos amis et nos conjoints. [...] Il ne faut pas se mettre trop de pression, si on n'atteint pas ce qu'on s'est fixé, ce n'est pas la fin du monde non plus, il ne faut pas s'effondrer mentalement à cause de ces attentes qu'on n'a pas pu satisfaire. Quoi qu’il en soit, Cerundolo va devoir continuer sur sa belle lancée à Rome puisqu’il y avait atteint les quarts de finale l’an passé (battu par Casper Ruud).
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Elie Domas 2 Elie Domas 10bodova
Kylian L. 3 Kylian L. 10bodova
MrG 4 MrG 10bodova
B2o 5 B2o 10bodova
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